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jeudi, 06 septembre 2007

Forum associatif

Pour la rentrée, nous serons présents au Forum des associations, au côté de la Société Historique et Archéologique du 14e :

 

Samedi 8 septembre

de 14h à 18h

 

Parvis de la Mairie du 14e et place Jacques Demy

(M° Mouton-Duvernet ou Denfert-Rochereau)

 

Vous pouvez venir nous y rencontrer.

A samedi...

jeudi, 21 juin 2007

Paris souterrain

 

En couverture du Paris Souterrain, d'Emmanuel Gaffard, qui vient de sortir aux éditions Parigramme (http://www.parigramme.fr/) : la carrière du chemin de Port-Mahon.

 

medium_ParisSout.JPG

 

A la page 29, on précise :

« Le Chemin du Port-Mahon, l’une des plus belles carrières de Paris, aujourd’hui menacée, se trouve sous la rue de la Tombe-Issoire. »

 

mercredi, 06 juin 2007

Un patrimoine dans la presse

 

Plus de 400 articles et reportages ont eu pour sujet la Ferme de Montsouris ou la carrière du chemin de Port-Mahon !


Et cela continue...

 

medium_400_articles_pour_la_ferme.2.jpg

 

 

mardi, 29 mai 2007

Article sur la carrière médiévale

 

Dans le hors série d'Histoire et images médiévales, de mai-juillet, Marc Viré a publié une étude sur les carrières parisiennes du moyen âge.

L'article est illustré de huit photographies de la carrière du chemin de Port-Mahon.

 

medium_HistoireMédiévale2.JPG

http://www.histoire-images-medievales.com/

 

dimanche, 20 mai 2007

La préservation de ce patrimoine intéresse les Allemands

 

Ce 19 mai, la radio DLF (l’équivalent allemand de France Culture) a diffusé une émission sur les sous-sols de Paris et sur la carrière du chemin de Port-Mahon :

 

« Des amoureux des monuments historiques se battent contre une importante entreprise de construction pour la conservation d'une carrière souterraine, unique dans son genre, et pour la sécurité des habitants du quartier. »

 


(Denkmalschützer kämpfen gegen Baulöwen um den Erhalt eines einzigartigen Steinbruchs unter der Erde und um die Sicherheit der Anwohner darüber.)

 

La suite est sur :

 

http://www.dradio.de/download/67718/

 

mardi, 27 mars 2007

Journal La Page du mois d'avril

 

medium_LaPage0407.JPG

lundi, 12 mars 2007

Aujourd'hui dans Matin Plus

 

La Mairie du 14e va demander au Maire de Paris de racheter la propriété :

 

medium_MatinPlus1203072.jpg

lundi, 05 mars 2007

Stratégie de communication de la Soferim

 

Au début...
Cette stratégie était :
Les travaux n’atteignent pas la carrière.

 

En effet dans le Parisien du 16 février 2007, la Soferim affirmait :
« Nous avons fait attention à ce que les sondages ne descendent pas jusqu’au niveau des carrières. »

 

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6 jours plus tard...
La 2e stratégie était :
Les photos ne sont pas authentiques.

 

Le 23 février, toujours dans le Parisien, le promoteur affirmait :
« Nous n’avons aucune preuve que ces photos représentent nos carrières qui sont une propriété privée et donc inaccessibles au public ».

 

Pourtant, la veille, le 22 février, l’Inspection Générale des Carrières était descendue dedans et avait bien confirmé la véracité des photos.

 

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3 jours plus tard...
La 3e et dernière stratégie était :
Il n’y a aucune dégradation, sinon l’IGC l’aurait signalée.

 

Le 26 février, sur la télévision Paris Cap’, la Soferim :
« se défend de toute dégradation et n’a reçu aucune plainte de l’Inspection Générale des Carrières ».

 

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Le 5 mars 2007, avec le recul, les faits sont là :
1) Le promoteur a transpercé les carrières.
2) Les a endommagées.
3) Les photos sont bien celles des dégâts.
4) L’Inspection Générale des Carrières a confirmé tout cela.

 

mardi, 27 février 2007

Brève dans Matin Plus

 

Hier, le nouveau quotidien Matin Plus s'est fait l'écho des dégâts causés par le chantier :

 

medium_article_26_02_07_MatinPlus.2.jpg

 

vendredi, 23 février 2007

Les photos des dégâts

 

Voici, en photo, les conséquences du chantier...

 

Le premier cliché montre le pilier tourné endommagé par le chantier. Il a été transpercé par du béton (en gris et en bleu sur la photo), alors que l'autorisation de travaux ne permettait à l'entreprise de n'utiliser que de la chaux.

 

medium_Pilier_tourne_endommage08.JPG

 

La colonne de béton (en gris sur la photo) mesure une dizaine de centimètres de diamètre. Il s'agit d'une tentative du promoteur destinée à prouver qu'il peut implanter ses fondations sans dommage dans le pilier médiéval.

 

Et... il a prouvé exactement le contraire !

 

Quoi qu'on fasse, quelle que soit la somme qu'on y consacre, on ne peut passer outre les lois de la physique.

 

On imagine le résultat, si on laissait faire l'opération immobilière, sur le Monument Historique. Opération qui nécessiterait une centaine de piliers de béton d'1 mètre 20 de large ! Avec 2 à 3 de ces piliers de béton dans chaque pilier médiéval.

 

Mais continuons...

 

L'injection s'est ensuite répandue dans la galerie, telle une mer bleue...

 

medium_Injection_bleue02.JPG

 

La photo est éloquente !

 

Bref, ce chantier, pourtant officiellement destiné à entretenir le Monument Historique, a démontré, par les faits, ce que l'expert ne cesse de dire : toutes ces interventions dégradent la carrière, l'endommagent et au bout du compte ne peuvent que la dénaturer... voire même la faire disparaitre.

 

dimanche, 18 février 2007

L’expert l’avait annoncé... ça a eu lieu

 

Le chantier du promoteur a endommagé un des piliers médiévaux.

 

Nous n’avons cessé de l’annoncer, mais le Ministère de la Culture a préféré faire la sourde oreille et autoriser ces travaux.
On voit le résultat.

 

Le 14 février, avant même d’en être averti, le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, avait demandé au Préfet de Police « de prendre toutes les mesures adaptées pour préserver la sécurité des personnes et des biens », l’alertant sur « les risques d’effondrement et de dégradation de la carrière liés à ces travaux. »

 

Imaginons ce qui se serait passé, si l’entreprise avait, comme il est prévu dans l’opération immobilière, foré les piliers mitoyens ?
Les voisins sont aux premières loges.

 

A présent que les faits sont là, va-t-on enfin prendre en considération les expertises d’Aimé Paquet ?

 

Le Tribunal Administratif, dans son jugement du 9 juin 2005, avait pourtant conclu que :
« les travaux envisagés constituent pour le monument historique une menace de dénaturation définitive »
On n’en a tenu aucun compte.

 

Dans le Parisien de vendredi dernier :
« pour ces travaux de sondage, le Ministère de la Culture nous a donné son aval, explique Christine Phal, responsable de la communication à la Soferim. Ces forages nous ont permis de vérifier la qualité et la profondeur du terrain. Nous avons fait attention à ce que ces sondages ne descendent pas jusqu’au niveau des carrières. »

 

Outre que l’on frise le ridicule (« nous avons fait attention à ce que ces sondages ne descendent pas jusqu’au niveau des carrières »), le promoteur lâche le pot aux roses : ces travaux n’étaient pas destinés à entretenir le Monument Historique, mais à « vérifier la qualité » du terrain.
C’est-à-dire que le promoteur a procédé à des tests pour tenter de prouver qu’il pouvait implanter des pieux de béton sans endommager les piliers médiévaux.
Et, les faits ont prouvé le contraire !

 

Le Ministère de la Culture a-t-il autorisé ces tests ?
Etait-il au courant de ces tests ?

 

Il faut considérer ce Monument Historique, à l’exemple de Notre-Dame de Paris :
Il est dangereux de jucher sur son toit des bulldozers.
Il est dangereux de taper dans ses murs à l’aide de ces mêmes bulldozers.
Il est dangereux de perforer les piliers qui la soutiennent.
Mais, si l’on ne vient pas ainsi la fragiliser, Notre-Dame pourra continuer d’accueillir des milliers de visiteurs en toute sécurité.

 

A présent, va-t-on arrêter les frais ?

 

Ou va-t-on continuer d’autoriser le promoteur à ébranler les piliers médiévaux qui soutiennent le sol et qui soutiennent les voisins ?

 

medium_Port_Mahon_Superflux.2.jpg
photo : Superflux

 

Nous posons cette question au Ministre de la Culture.

 

vendredi, 16 février 2007

Article dans Le Parisien aujourd'hui

medium_Parisien0207.JPG

lundi, 12 février 2007

Le chantier vient d'être arrêté

 

Aujourd’hui, le chantier de Sobesol-Simecsol, pour le compte de la Soferim, n’a pas repris. Les engins de chantier ont quitté le site.


Ces travaux étaient autorisés par le Ministère de la Culture, en application de l’article L 621-10 du Code du Patrimoine. Pourtant, cet article ne permet au Ministère que d’autoriser des « travaux d'entretien, de réparation ou de restauration » d’un Monument Historique.


Etait-on bien, ici, dans le cadre de « travaux d’entretien, de réparation ou de restauration » ?


On peut se poser la question.


D’autant que l’avis de l’expert, du 25 janvier dernier, précisait que ces travaux, bien loin de l’entretenir, ne pouvaient qu’avoir un « caractère néfaste » sur le Monument Historique.

 

samedi, 10 février 2007

HNS-info

Le média internet HNS-info vient de publier un article sur les travaux actuels de la Soferim :

 

"Le Monument Historique le plus caché de Paris... en danger de disparaître sous les bulldozers"

 

A lire sur :

 

http://www.hns-info.net/article.php3?id_article=10418

 

mercredi, 07 février 2007

Le Ministre de la Culture était informé dès octobre 2006

 

Georges Viaud, Président de la Société d’Histoire et d’Archéologie du 14e arrondissement, a rencontré personnellement le Ministre de la Culture, Renaud Donnedieu, de Vabres, le 3 octobre 2006.

 

Il l’avait alors déjà informé des menaces qui planaient sur le Monument Historique.

 

Le Ministre de la Culture lui avait affirmé que son cabinet allait s’occuper directement de ce dossier.

 

On attend toujours...

 

Le Ministère de la Culture et l’Hôtel de Ville fuient leurs responsabilités

 

Nous sommes le 7 février et nous n’avons toujours reçu aucune réponse officielle.

L’expert pointe pourtant du doigt la dangerosité des travaux réalisés actuellement sur la carrière médiévale classée.

Nous avons envoyé les conclusions de l’expert, à tous les responsables et à tous les services concernés.

 

Et nous n’avons obtenu aucune réponse.

 

Nous considérons que ce silence est aussi une réponse.

 

Il signifie que personne n’a aucun argument pour justifier ces travaux, à part se renvoyer la responsabilité, en affirmant :

  • L’entreprise n’est pas responsable, car les travaux ont été autorisés par le Ministère de la Culture.
  • Le Ministère de la Culture n’est pas responsable, car les travaux sont réalisés par l’entreprise.
  • La Mairie de Paris n’est pas responsable, car les travaux ont été autorisés par le Ministère de la Culture.

 

Bref, personne n’est responsable et donc le Monument Historique peut continuer d’être abîmé, jour après jour.


 

Les médias électroniques

 

Paris14, l’un des blogs les plus lus de la Capitale, avec une moyenne de 900 visiteurs par jour, a mis en ligne hier les conclusions de l’expert, sous le titre « Ferme Montsouris et carrière de Port-Mahon : en attendant le désastre ? » :

 

http://www.paris14.info/archive/2007/02/06/ferme-montsour...

 

Quant à Politis.fr, il a publié dimanche un article intitulé « La carrière de la Ferme de Montsouris menacée » :

 

http://www.politis.fr/La-carriere-de-la-ferme-de,225.html

 

samedi, 03 février 2007

Le silence des responsables est assourdissant

 

Ni le Ministre de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres, ni le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, ni leurs services, n’ont réagi à l’avis de l’expert que nous leur avons envoyé.

 

Cet avis relève pourtant de graves risques, si le chantier continue.

 

La préservation d’un Monument Historique et la sécurité publique mérite un maximum de précautions.

 

Rappelons qu'aucun ingénieur en géologie ou en mécanique des sols n’a accepté d’endosser par écrit la responsabilité de ces travaux.

 

jeudi, 01 février 2007

Avis du seul expert consulté, sur ces travaux


« Vous avez bien voulu m’interroger sur les dernières évolutions concernant ce dossier et sur lequel nous avons depuis maintenant des années établi un suivi avec des rapports remis sur les travaux envisagés dans le cadre d’un permis de construire et sur les réels dangers de déstabilisation du recouvrement dans le cas ou les méthodes décrites seraient mises en oeuvre.

 

« Nous apprenons maintenant que des sondages seraient programmés ou, mieux, déjà en cours.

 

« Nous avons l’honneur de vous préciser ci-joint, notre analyse du problème et les réflexions que nous inspirent les travaux entrepris, en dépit des plus élémentaires précautions qu’il nous paraîtrait nécessaire de réaliser.

 

« ...en l’absence écrite de l’IGC pour les mettre en œuvre, il y aura à l’évidence un problème de responsabilité dans le cas ou un sinistre viendrait à se produire...

 

« Pour notre part, ces sondages ne servent strictement à rien vis-à-vis de la carrière. Celle-ci est connue et les caractéristiques du calcaire aussi.

 

« Par contre, nous ne pouvons que réitérer nos plus expresses réserves sur le caractère néfaste d’une telle intervention et sur l’augmentation des risques de déstabilisation des piliers et du ciel - recouvrement.

 

« ...Que fera-t-on quand la carrière aura été effondrée ? »

 


Aimé Paquet

ingénieur géologue, expert en sols et carrières

25 janvier 2007

 

 

Nous avons envoyer ce document :

  • au Ministre de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabre,
  • à la Sous-directrice des Monuments Historiques, Danièle Deal,
  • au Maire de Paris, Bertrand Delanoë et
  • au Maire du 14e arrondissement, Pierre Castagnou.

 

Nous attendons leur réponse...

mardi, 30 janvier 2007

Le rôle de Marc Viré dans cette affaire

 

La DRAC vient de nous confirmer que l'autorisation de travaux actuels a été donnée au promoteur, la Soferim, sur le conseil de l'historien Marc Viré.

 

Or, Marc Viré n'est ingénieur ni en géologie, ni en mécanique des sols. C'est pourtant le seul connaisseur en carrière à avoir été consulté, pour ces travaux.

 

Ajoutons qu'un article de Monts 14 (http://collectifportmahon.blogspirit.com/files/V.JPG), paru il y a 3 ans, relatait la nature de ses rapports avec la Soferim.