lundi, 05 mars 2007
Stratégie de communication de la Soferim
Au début...
Cette stratégie était :
Les travaux n’atteignent pas la carrière.
En effet dans le Parisien du 16 février 2007, la Soferim affirmait :
« Nous avons fait attention à ce que les sondages ne descendent pas jusqu’au niveau des carrières. »
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6 jours plus tard...
La 2e stratégie était :
Les photos ne sont pas authentiques.
Le 23 février, toujours dans le Parisien, le promoteur affirmait :
« Nous n’avons aucune preuve que ces photos représentent nos carrières qui sont une propriété privée et donc inaccessibles au public ».
Pourtant, la veille, le 22 février, l’Inspection Générale des Carrières était descendue dedans et avait bien confirmé la véracité des photos.
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3 jours plus tard...
La 3e et dernière stratégie était :
Il n’y a aucune dégradation, sinon l’IGC l’aurait signalée.
Le 26 février, sur la télévision Paris Cap’, la Soferim :
« se défend de toute dégradation et n’a reçu aucune plainte de l’Inspection Générale des Carrières ».
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Le 5 mars 2007, avec le recul, les faits sont là :
1) Le promoteur a transpercé les carrières.
2) Les a endommagées.
3) Les photos sont bien celles des dégâts.
4) L’Inspection Générale des Carrières a confirmé tout cela.
18:38 Publié dans Histoire d'une lutte 2007 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carrières, carriere, port-mahon, monument historique, soferim
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