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jeudi, 01 juin 2006

Les Hospitaliers de Saint-Jean

Du 12e au 18e siècle, le seigneur de la Tombe-Issoire fut le Commandeur des Chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean.
Cet ordre religieux et militaire est devenu au 16e siècle l'ordre de Malte.


Les carrières du fief de la Tombe-Issoire dépendaient donc des Hospitaliers.

 

Voir :

http://www.ordredemaltefrance.org/
http://www.orderofmalta.org/storia.asp?idlingua=3

 

 

Projet de centre polyvalent


La Ferme de Montsouris - site où l’histoire a aimé à passer et repasser, a laissé sa trace - n’est-elle pas naturellement destinée à devenir un lieu de culture et d’utilité publique, où les associations et où les Parisiens se rencontreront, pour apprendre leur histoire, mais aussi pour renouer les liens sociaux directement issus de cet héritage.

Il est impératif de mettre en valeur les diverses richesses patrimoniales du site.

Ces orientations peuvent se résumer ainsi :

Culturelles et patrimoniales :
- aqueduc Gallo-Romain
- carrières classée Monument Historique
- ferme et cellier
- charpente des Compagnons
- chemin de Saint-Jacques de Compostelle
- arts et spectacles

Sociales, éducatives et associatives :
- activités éducatives
- activités sociales
- réinsertion de jeunes
- ferme pédagogique
- maison des associations.

Ce centre polyvalent couvrira plus de 2 700 m², à 250 m de la gare RER Denfert-Rochereau.

 

L'Abbé Keller (1894-1986), l'ancien propriétaire du site

En 1934, la Fondation des Berceaux du Souvenir, fondée et dirigée par l’Abbé Keller, est reconnue d’utilité publique, avec le bénéfice de la clause charitable. En 1953, cette fondation, qui devient majoritaire dans la Société Immobilière du Lion de Belfort, développe aux 26-28 rue de la Tombe-Issoire et 15-17 villa Saint-Jacques, des logements pour des personnes de condition modeste et des activités du Centre d’œuvres de jeunesse. Le rapport de l’assemblée générale de la SI Le Lion de Belfort, en 1969, traduit les volontés de l’Abbé Keller, Président-Fondateur : " Ce sont des préoccupations d’ordre social et philanthropique qui expliquent que la Société se soit abstenue de tirer des locaux le profit financier qui lui était offert avec insistance, et récemment encore, par un promoteur. "


A sa mort, l’Association Diocésaine hérite des 56 parts qui étaient encore détenues par l’Abbé Keller dans la SCI Le Lion de Belfort, « à charge par elle de mettre à la disposition de la paroisse St Dominique le terrain et les locaux qui lui sont actuellement affectés » (testament olographe fait à Paris le 17 juin 1982 et déposé chez M° François Diot à Paris. Ce terrain correspond notamment à la grande cour de ferme du 26-28, rue de la Tombe-Issoire).

 

mardi, 30 mai 2006

L'aqueduc gallo-romain

L'aqueduc gallo-romain a été retrouvé dans le sol de la cour de la ferme par Didier Busson, archéologue de la Commission du Vieux Paris, lors de fouilles en mai 1992.

Cet aqueduc de Lutèce qui apportait l'eau aux Thermes de Cluny est dans le sol et le sol est classé.

Le projet immobilier ne tenait aucun compte de sa présence. Un immeuble de 5 étages était prévu à son emplacement.

Le Pavillon Troubadour

Sous la Monarchie de Juillet (1830-1848), le style néo-gothique ou Troubadour n’a laissé que de rares exemples dans les faubourgs.

 

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De cette époque, le charmant petit pavillon du 15, villa Saint-Jacques, avec son architecture symétrique, son perron, son chambranle des fenêtres, ses pilastres, ses hauts-reliefs figurant deux couples dont l’un s’observe et l’autre s’ignore, son profil du roi François Ier sur les ferronneries, est une fantaisie unique évoquant de manière romantique la Renaissance.

 

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La Commission du Vieux Paris a souligné, en 1999, " son originalité architecturale " et a souhaité qu’il soit conservé.

 

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mercredi, 03 mai 2006

Propriétaire actuel du site

La Soferim, un promoteur privé, est en train d’acheter le 26-30, rue de la Tombe-Issoire et le 15-17, villa Saint-Jacques, 6,38 millions d’euros, à la Fondation des Berceaux du souvenir, c’est-à-dire à l’archevêché de Paris.

C’est la banque Socfim, du Groupe Caisse d’Epargne, qui prête l'argent. Il reste à payer environ 2 millions d’euros, avant le 31 décembre 2006.

 

La Soferim est une entreprise florissante qui annonce sur son site un volume d’affaire annuel de 100 millions d’ euros.

 

Du fait d’une erreur des services de la Ville, elle a obtenu des permis de démolir et de construire au 5-9, rue Niepce, Paris 14e. Elle va y réaliser une importante spéculation immobilière.

L’Hôtel de Ville lui a confié un des chantiers phares de la mandature, la reconstruction des Magasins réunis, 41bis, quai de la Loire (à ce propos lire le débat du Conseil de Paris d'avril 2003).


 

Bref, la Soferim est un promoteur en pleine santé qui compte bien réaliser une grosse opération de plus au 26-30, rue de la Tombe-Issoire.

dimanche, 25 septembre 2005

1er Prix du balcon fleuri

C’est le 26, rue de la Tombe-Issoire, dont les occupants ont été expulsés le 2 septembre 2005, qui vient ce dimanche de remporter le concours du plus beau balcon fleuri du 14e arrondissement !

  

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Beau symbole pour un immeuble qui n’avait rien à voir avec les taudis des marchands de sommeil et dont on se demande toujours pourquoi il a été expulsé.

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Ce balcon fleuri, œuvre d’un jardinier malien, forçait l’admiration...

 

samedi, 30 avril 2005

Nouveau retrait de l'autorisation

Le 26 avril 2005, le Ministre de la Culture, à la demande de Marie-Claire Carrère-Gée, Conseiller régional, a retiré l'autorisation de travaux à la Soferim.

Cette autorisation de travaux sur le Monument Historique permettait au promoteur d'implanter une centaine de piliers de béton dans la carrière du chemin de Port-Mahon.

vendredi, 10 décembre 2004

Une fête médiévale à Paris !

Le 21 novembre 2004, le Collectif organisait une grande fête médiévale à Paris : Le "Mystère de Montsouris".

Le programme était copieux : musique, combats en armure, jongleurs, cracheurs de feu, bateleurs, graveur…   tous les ingrédients étaient réunis pour faire revivre le Paris d’antan…

 

medium_musiciens.jpgPierre Hamon (1) et Pierre Boragno (2), spécialistes de la musique médiévale déambulaient avec cornemuses et flûtes médiévales parmi les spectateurs, leur musique se mêlait au fracas des combats de chevaliers… Puis, dans l’église,  lieu plus propice au recueillement, ils donnèrent un concert tout au long de l'après-midi.

 

 

Pendant ce temps, une reconstitution historique de combats en armures à l’épée par La Compagnie des Chevaliers de Brie Champagne se déroulait.

medium_chevaliers.2.jpgLes chevaliers combattaient en suivant les règles de la joute à l’épée de la fin du XIVe et du début du XVe siècle. Un maréchal de Lice  expliquait aux spectateurs les règles et le décompte des points. Des enfants, fascinés devant la soudaine apparition de chevaliers dans les rues de Paris, secondaient le maréchal en comptant les points à l’aide de petits drapeaux de couleur. Lorsque le combat s'engageait, le choc des lames et des armures résonnait dans les oreilles.

 

medium_romain_jonglant.jpgPendant ce temps, le jongleur Romain Delavoipiere faisait voler les balles colorées au-dessus des pavés et les cracheurs de feu impressionnaient petits et grands. 

 

 

 

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La nuit tombée, les flammes montaient bien au-dessus de la foule.

 

 

Un peu plus loin le magicien J. Proley accomplissait des tours avec des cristaux de roche. Déconcertant le public, il trouvait à 2 jours près la date de naissance d’un participant et  lisait dans la pensée d’une spectatrice !

  

C'est Valérie Loiseau qui avait dessiné l'affiche de la fête. Pendant les festivités, elle initiait le public à la technique de la gravure sur bois, procédé  utilisé au XVe siècle pour les cartes à jouer et les images religieuses (séries de gravures de pèlerinages vendues sur les lieux Saints).
Avec des gouges, l'artiste entaillait la surface du bois qui était ensuite encrée puis le papier était apposé dessus. Le tirage se faisait à la presse ou à la simple pression de la main, au « froton ». Malgré la simplicité apparente de ce procédé, il offre une grande variété d’ expression. Les enfants ont imprimé à la manière de l’époque un dragon et sont repartis avec un joli souvenir de cette fête.

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L’échoppe médiévale et la Fée dans la bouteille, deux boutiques parisiennes partenaires de la manifestation, animaient la rue en étalant  aux yeux des passants leur articles médiévaux : des bouteilles d’hypocras  et d'hydromel, des bijoux et des costumes.

 

Un historien de la Société Historique et Archéologique du 14e arrondissement avait rédigé pour le public un ensemble de questions évoquant les légendes médiévales,  ce jeu d'énigmes intitulé « Le Mystère de Moutsouris », a donné son nom à la fête. Une fois le questionnaire distribué, les participants avaient une heure pour  y  répondre. Voici l'une d'elle :

 

Le géant Isoré :


Le comte Guillaume, dit au Court Nez, se dirigeait vers Paris ; les sabots de son destrier, heurtant la chaussée de notre rue de la Tombe-Issoire, lançaient des étincelles. Devant la ville, le géant Isoré, roi de Coïmbre, à la tête d’une armée, terrorisait les Parisiens assiégés.
Au matin, Guillaume, l’épée au poing, défia en combat singulier le roi de Coïmbre. Le géant Isoré leva sa hache tranchante, pour l’asséner sur le heaume luisant de Guillaume, mais celui-ci s’avança si promptement qu
’il prit de vitesse l’énorme Isoré et le tua.
Au 15e siècle, on pouvait : « encore veoir le lieu ou Guillaume le lessa mort, car au propre lieu y ordonna le roy et fist faire une tombe ou une enseigne ».
La tombe, située exactement au croisement de la rue de la Tombe-Issoire et de la rue Dareau, était surmontée d’une grande croix, sur laquelle on pouvait lire : TOMBE ISORE.
Chercheur de mystère retrouve l’un des grands secrets de la chevalerie, explique comment en se mouvant après Isoré, Guillaume put le prendre de vitesse ?

 

Un jeu était également proposé aux enfants de 4 à 10 ans : il fallait dessiner un griffon imaginaire ou inventer des paroles sur l’air connu « J’ai descendu dans mon jardin », chanson du Moyen Age… Le meilleur déguisement était  lui aussi récompensé.

Les heureux gagnants ont pu repartir avec de nombreux lots.

 

La rue s’était parée d’étoffes chatoyantes vertes, rouges, violettes, bleues, ainsi que de peintures d’animaux fabuleux. Des Parisiens s'étaient préparés de longue date pour l'événement et plusieurs déguisements élaborés ont vu le jour : dame de cour, moine, chevalier, templier. Les couleurs et les sons  du Moyen Age envahissaient ce quartier de Paris…

 

Partenaires :

La Caisse d’Epargne 27-29, rue de la Tombe-Issoire,

la Mairie du 14e 2, place Ferdinand Brunot,

les éditions Parigramme 58, rue du Faubourg Poissonnière,

l’Echoppe médiévale 47, rue du Cherche Midi,

la Fée dans la Bouteille 44, rue de la Tombe-Issoire.

 

 

Notes
1.Professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon Pierre Hamon est également co-directeur de l'ensemble Alla francesca et du Centre de musique médiévale de Paris.
2.Pierre Boragno joue avec de nombreux ensembles comme La Simphonie du Marais, Les Arts florissants ou Fitzwilliam. Il est le fondateur du trio Alta

 

 

 

vendredi, 23 juillet 2004

Des ouvriers démolissent le Pavillon d'Anita

Le 21 juillet 2004, pendant que la Police expulsait les squatters du 17, villa Saint-Jacques, des ouvriers ont quasiment démoli l'ancien atelier du sculpteur Anita Tullio.

 

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Ces ouvriers se sont présentés comme étant des agents d'EDF venus couper le courant !

 

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Plusieurs membres du cabinet du Maire du 14e arrondissement, présents sur place, ont été témoins de cette destruction réalisée sans autorisation administrative.

 

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jeudi, 18 mars 2004

Réaction de la Soferim au refus de son permis de construire

Réagissant au refus imminent, par l'Hôtel de Ville, de sa demande de permis de construire, la Soferim annonce dans un communiqué de presse du 18 mars 2004 qu'elle portera l'affaire en justice.

 

Et qu'en attendant le jugement, le 26-30, rue de la Tombe-Issoire « restera évidemment en déshérence durant toute la durée de la procédure. »

lundi, 24 novembre 2003

Nouvelle autorisation du Ministre

Le 24 novembre, le Ministre de la Culture est revenu sur sa décision en donnant une nouvelle autorisation de travaux de fondation au promoteur.

Ce sont des tonnes et des tonnes de béton qui vont être déversés dans le Monument Historique. Des espaces vont être comblés de béton, dans le seul but de réaliser une opération immobilière privée.

On peut pourtant rappeler les propos du Ministre, au Sénat, le 5 novembre de l'année dernière, où Jean-Jacques Aillagon disait solennellement :

« Pour ma part, je suis particulièrement attaché à ce que la carrière classée ne subisse aucun dommage pendant les travaux. »

mercredi, 05 novembre 2003

Des ouvriers démolissent à coups de masse des éléments du Pavillon Troubadour

Les 2 et 3 novembre 2003, des ouvriers se sont livrés à des travaux de démolition au Pavillon Troubadour (15, villa Saint-Jacques).

 

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Etant donné qu'il faut un permis de démolir pour cela, nous avons aussitôt appelé la Police. Après avoir constaté l'absence d'un tel permis, la Police a ordonné aux ouvriers d'arrêter.

 

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Nous avons fait constater ces travaux de démolition par un huissier.

 

 

samedi, 13 septembre 2003

Retrait des autorisations par le Ministre

Toutes les autorisations de travaux viennent d'être retirées par le Ministre de la Culture, Jean Jacques Aillagon, suite aux recours du Collectif de Port Mahon et de la Ferme de Montsouris.

mercredi, 30 juillet 2003

Risques d’effondrement du sous-sol, dans le cas d’une opération immobilière

 

Le 25 novembre 2002, à la demande du Collectif de Port-Mahon, Aimé Paquet, expert en sols, carrières, fondation et maîtrise d’ouvrage, a rendu un rapport de 18 pages sur les conséquences des travaux de fondations envisagés par l’opération immobilière au 26-30, rue de la Tombe-Issoire et 15-17, villa Saint-Jacques :



Le rapport est ainsi présenté :


« Nous vous confirmons [...] notre grand pessimisme concernant la stabilité de la carrière, voire sa ruine complète, si les travaux sont entrepris tel que conçus d’après les documents remis. »



Dans un additif du 21 juillet 2003, l’expert confirme les risques :


« d’avoir avant, pendant ou après exécution des puits ou pieux une casse d’un pilier, avec l’effet de château de cartes. »
Cet « effet château de cartes » est encore appelé « effet dominos ».


Dans le cas d’un tel chantier, cette expertise précise que les « dégradations peuvent aller jusqu'à la ruine complète des carrières, avec incidence de débordements sur la stabilité des propriétés riveraines. »


On imagine les conséquences sur les riverains.




Lorsqu’une voûte et ses piliers supportent leur charge depuis des siècles, ils ont prouvé que les calculs qui ont présidé à leur édification étaient bons. On peut donner comme exemple fameux, celui d’Afonso Domingos, architecte, à la fin du 14e siècle, du monastère de Notre-Dame de la Victoire de Batalha. Il resta assis sous la clé de voûte, 3 jours et 3 nuits, pour vérifier la solidité de ses calculs. Puis, conclu : « la clé de voûte n’est pas tombée, la clé de voûte ne tombera pas ».


Il y aura bien une évolution, comme pour toute chose ici-bas, mais cette évolution sera extrêmement lente et, par conséquent, facilement maîtrisable.



Toutefois, lorsque l’on intervient brusquement sur des piliers déjà en charge, les soumettant à des pressions différentes, l’équilibre des forces peut se rompre sans prévenir.



Dans le 13e, comme le rapport du Conseil général des Ponts et Chaussées l’a révélé, les ouvriers du chantier Météor sont intervenus quelques heures seulement avant l’effondrement de la cour de la maternelle et la relation de cause à effet a été nettement établie.


 

mardi, 01 juillet 2003

Injonction de la Préfecture de Police

La Préfecture de Police a, le 16 mai 2003, enjoint le propriétaire de procéder, « immédiatement et sans délai », à toute une série de travaux d’urgence et d’entretien, afin que les bâtiments soient maintenus en bon état de conservation, et ce " dans l’attente des travaux de réhabilitation envisagés ".

vendredi, 04 avril 2003

Jugement du premier procès

Le juge du Tribunal de Grande Instance de Paris vient de rejeter, ce jour, toutes les demandes de la Soferim et de Monseigneur Gervaise (représentant de l'archevêché).

Ce promoteur et ce propriétaire, du 26 rue de la Tombe-Issoire Paris 14e, assignaient, en effet, en référé les 35 associations qui tentent de préserver une carrière médiévale, classée Monument Historique, de l'opération immobilière prévue en ce lieu.

jeudi, 27 février 2003

Le premier procès de ce dossier

Le Collectif de Port-Mahon et de la Ferme de Montsouris est assigné, par le propriétaire et le promoteur du 26, rue de la Tombe-Issoire, en référé au Tribunal de Grand Instance de Paris, le 14 mars 2003.


Selon les termes mêmes de l'assignation :

« ...certaines associations qui diffusent depuis plusieurs mois, à travers la presse des informations aussi alarmistes qu'infondés. « A titre d'exemple, Monseigneur Gervaise et la Société Commercial Building ont été encore récemment mis en cause par le Collectif de Port-Mahon et de la Ferme de Montsouris représentant diverses associations de protection de l'environnement dans plusieurs articles de la presse locale et nationale (Journal du dimanche du 8 décembre 2002, Metro, Le Parisien du 13 décembre 2002, le Figaro, Zurban, le Nouvel Observateur, etc...). »


Sont également assignés, le Maire de Paris, l'Etat, le Maire du 14e arrondissement et toutes les associations qui composent le Collectif.